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Que mangeaient les chiens avant les croquettes

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Plongée dans l’alimentation canine d’autrefois : quelle nourriture avant les croquettes ?

Aujourd’hui, ouvrir un sac de croquettes et en verser dans la gamelle de son chien représente une habitude bien ancrée dans la plupart des foyers de l’hexagone. Elle est devenue la norme pour près de 95 % des propriétaires d’amis canins en France.

Mais vous êtes-vous déjà demandé ce que mangeaient les chiens avant les croquettes ?

Comment faisaient nos ancêtres pour nourrir leurs boules de poils ? L’intérêt apporté à l’alimentation canine ne date pas d’hier et a bien évolué au fil des siècles. Dans cet article, nous allons explorer les régimes de nos compagnons à quatre pattes grâce à un voyage à travers le temps. De l’époque de leur domestication jusqu’à l’ère de l’industrialisation, les pratiques et les mœurs ont connu des modifications radicales. Décryptage.

Les régimes alimentaires ancestraux : nourriture des premiers chiens domestiqués

Origine des chiens : évolution à partir du loup gris

Pour comprendre le régime alimentaire de ceux qui sont devenus les meilleurs amis de l’homme, partons ensemble aux origines de leur apparition. Les chiens (Canis lupus familiarisa) ont commencé à se différencier des loups gris (Canis lupus lupus), il y a environ quarante mille ans. 

loup ancêtre du chien

Leur évolution et leur domestication par l’homme ont contribué à former une espèce distincte de leur ancêtre en modifiant leurs capacités cognitives et sociales, leur morphologie et leurs besoins nutritifs. 


Domestication la plus réussie d’un carnivore par l’homme : coévolution des régimes alimentaires des maîtres et des chiens

Selon les dernières études paléogénétiques, la domestication des chiens se serait produite il y a entre 20 000 et 40 000 ans, au cours du Paléolithique supérieur. 

Les premiers chiens préhistoriques apprivoisés bénéficient d’une nourriture proche de celle des hommes qui dépendent encore de la chasse, de la pêche et de la cueillette pour leur survie. Nos amis à quatre pattes traquent de petites proies et se voient également offrir les restes des repas humains tels que des cerfs, des poissons et les viscères de mammifères.

L’avènement de l’agriculture vers 10 000 ans av. J.-C. modifie le régime alimentaire à la fois des humains et des chiens. Avec l’« artificialisation » de la nature par leur maître, nos boules de poils s’acclimatent aux nouvelles cultures, notamment des céréales riches en glucides. Elles se socialisent de plus en plus et commencent à dépendre des hommes pour leur source de nourriture.

Progressivement, leur système digestif se transforme pour s’adapter à leur environnement alimentaire riche en amidon. Leur ADN se modifie : les gènes impliqués dans la digestion de l’amidon et le métabolisme des graisses évoluent pour leur offrir une faculté accrue à décomposer et à absorber des aliments contenant de l’amidon. 

À la différence des loups qui ont maintenu un régime principalement carnivore, ces mutations leur permettent de consommer aujourd’hui une plus grande variété de nourriture.

Les aliments pour chiens d’autrefois, de l’Antiquité aux Temps modernes

Bien avant l’industrialisation et l’arrivée des croquettes, la nourriture canine était déterminée par une multitude de facteurs.

Impact du milieu social du maître sur la nourriture canine

Jusqu’à la fin du XIXe siècle, la majorité des chiens mange surtout des restes de table et des déchets alimentaires impropres à la consommation humaine. Ils complètent leur ration de base par le butin de leur chasse ou de leur vol. Cette habitude n’a d’ailleurs pas vraiment disparu aujourd’hui, même chez nos boules de poils grassement nourries !

La disponibilité de la nourriture dans la société humaine influe sur la quantité et la qualité restante pour le chien. Ainsi, en période de disette, les animaux des milieux populaires subissent les conséquences de la pénurie, comme leur maître. 

Lutte contre le caractère carnivore des chiens

Dans certaines populations canines, l’alimentation était adaptée à la mission de l’animal. Les repas des « chiens de valeur » révèlent la méfiance des hommes envers leur tempérament sanguinaire jusqu’au XIXe siècle.

Régime alimentaire des chiens de ferme

Il y a plus de 2000 ans, le premier manuel sur l’agriculture rédigé par le romain M. T. Varron contenait des recommandations spécifiques pour les chiens de ferme.

Il conseille de leur donner une nourriture plus proche de celle de l’homme que de celle de la brebis : leur alimentation doit se composer d’os, de pain d’orge trempé dans du lait et de restes de tables plutôt que d’herbes ou de feuilles. À cette époque, les chiens sont encore considérés comme des prédateurs en puissance. Ainsi, il était vivement déconseillé de leur offrir des carcasses de viande, de peur qu’ils ne s’attaquent aux bêtes de la ferme.

L’objectif principal était de les nourrir à leur faim afin d’éviter qu’ils ne désertent le troupeau pour chercher leurs victuailles ailleurs.

Meute des véneries : nourriture à base de pain jusqu’à l’époque romantique

Au fil des siècles de l’Antiquité aux Temps modernes en passant par le Moyen Âge, l’étude des traités de vénerie nous apporte de précieuses informations. Elle permet de comprendre comment les chiens étaient perçus dans la société d’antan et le régime alimentaire qui en découlait.

donner du pain au chien

Aux époques où le pain est considéré comme une denrée alimentaire essentielle, il semble évident d’en nourrir les chiens, notamment ceux de valeur. Il est même perçu comme pouvant augmenter la vélocité de la meute. Les textes prônent des repas constitués principalement de pain, car selon les croyances d’autrefois, il permettait de contrer la férocité sauvage des chiens.

Les inévitables carences engendrées par un tel régime sont soignées tantôt par de la graisse et du foie de bœuf, tantôt par du fromage ou du beurre. 

En 1406, l’écrit ci-après provenant de la vénerie du château de Boitsfort près de Bruxelles mentionne des faits marquants pour nos yeux contemporains. Alors qu’elle tente pendant quelque temps d’alimenter la meute avec de la viande équine, elle se ravise vite : « Les chiens du duc étaient principalement nourris de chair de vieux chevaux qu’on abattait expressément à Boitsfort. Le nombre de ces malheureux animaux dévorés annuellement par les chiens s’élevait en moyenne à quarante, quoiqu’une fois il ait atteint le chiffre exorbitant de cent. Dans la suite, ce genre de nourriture fut abandonné. Le pain destiné aux chiens se composait de seigle pur, ou de seigle et d’orge, ou d’orge et d’avoine ».

Ainsi jusqu’aux années 1830 environ, l’homme se méfie du chien considéré comme un prédateur sanguinaire et tente de calmer ses ardeurs carnivores grâce à une alimentation essentiellement végétale, principalement à base de pain. Les maîtres pensent alors pouvoir contrer leurs frénésies bestiales à grands coups de céréales.

Seule la curée, repas constitué de bas morceaux de proie chassée, reste offerte après la poursuite. Elle était destinée à maintenir l’intérêt des chiens pour la traque.

Tournant au XIXe siècle : retour de la viande dans l’alimentation canine

Il faut attendre le début du XIXe siècle pour que le pain, profondément ancré dans les habitudes, cède la place à la viande. Dans les véneries comme pour toute la population canine, les protéines animales font leur retour au menu.

Régime mixte viande-légumes : prise de conscience des besoins nutritifs des chiens 

Le vétérinaire précurseur anglais, Delabere P. Blaine, recommande l’inclusion de la viande dans le régime alimentaire des chiens en 1828. 

Il défend un régime mixte viande-légumes, dicté par ses observations scientifiques, notamment l’étude de la physiologie de la digestion canine. 

fruit et légume pour chien

Alors qu’au Moyen Âge, la viande était accusée d’échauffer le sang de l’organisme canin et de les prédisposer aux maladies, la façon de penser évolue. Le vétérinaire considère que les affections de peau ne sont plus dues aux seuls produits carnés, mais il les attribue d’abord aux céréales.

Retour au naturel : vers une alimentation canine proche de celle de l’état sauvage

En 1843, Elzéar Blaze, écrivain français spécialiste des ouvrages sur la chasse, conseille une alimentation qui s’éloigne le moins possible de celle à l’état sauvage. Selon lui, la nourriture canine doit s’ajuster aux facultés naturelles de l’animal. Il recommande de nourrir les chiens de viande fraîche et crue, la cuisson éliminant la capacité de la viande à offrir témérité et férocité. 

Ces recommandations ne sont pas sans rappeler celles du régime BARF mis au point dans les années 1990 par le vétérinaire australien Ian Billinghurst. La méthode BARF « Biologically Appropriate Raw Food », que l’on peut traduire par « nourriture crue biologiquement adaptée » prône le retour à l’alimentation naturelle du chien. De nos jours, elle se présente comme une alternative à la nourriture industrielle qui pourrait être responsable de la recrudescence des maladies. Le menu BARF se compose d’aliments crus : essentiellement des viandes, du poisson, des abats, des os ainsi que des fruits et légumes. Si ce type de repas vous intéresse pour votre boule de poils, des entreprises telles que Muz’oh commercialisent des portions toutes prêtes surgelées de BARF.

Cheval au menu du chien

À partir du début des années 1800, nos compagnons à quatre pattes sont encore essentiellement nourris avec des restes de table qui pouvaient être agrémentés de viande chevaline. En effet, avec le développement urbain et la révolution industrielle, les chevaux perdent en prestige et nombre d’entre eux meurent de maladie ou d’épuisement. Les maîtres y trouvent un aliment carné accessible et abordable, d’autant plus que sa consommation humaine demeure interdite en France jusqu’en 1866. Malheureusement, les cas d’intoxications de chiens se multiplient en raison d’une mauvaise conservation de la viande et de sa provenance (elle pouvait être issue d’animaux malades).

Première nourriture industrielle canine : un biscuit pour chien

Les premiers aliments commerciaux pour chiens sont des biscuits particuliers inventés par James Spratt, un électricien américain habitant près de Londres. 

Son idée lui vient après avoir vu des chiens mangeant des gâteaux secs appelés « hardtacks », utilisés pour nourrir les marins lors de longs voyages. Il reproduit le principe pour remplacer la nourriture canine habituelle et ainsi améliorer sa conservation.

Produits et vendus à partir de 1860, ils sont constitués d’un mélange de farine de blé, de légumes, de betterave et de viande. 

Grâce à son génie commercial et à grand renfort de publicité, il impose son invention et l’exporte en dehors de la Grande-Bretagne. Il crée avec sa firme « Spratt’s Patent » une gamme d’aliments avant-gardiste adaptés aux différents âges canins et à leurs besoins spécifiques. Voyez-vous le modèle des futures croquettes se dessiner ? 

Il détient le monopole du marché de la nourriture canine pendant plusieurs dizaines d’années en Amérique et impulse la production à grande échelle d’une alimentation stéréotypée. L’industrie du « pet food » est née.

Apparition des conserves de pâté pour chiens en 1922

Les premières conserves de pâté pour chien voient le jour en 1922, commercialisées sous le nom « Ken-L Ration » par les frères Chappel. La viande incluse est d’origine équine. En effet, au lendemain de la Première Guerre mondiale, les chevaux sont progressivement remplacés au profit de l’automobile. Ils se retrouvent alors en surnombres et considérés comme inutiles. 

Dans les années 1930, la viande chevaline se raréfie et les sous-produits animaux lui succèdent petit à petit. La réglementation concernant la fabrication de nutrition animale n’étant pas très stricte à cette époque, ses sous-produits étaient souvent de piètre qualité.

Les conserves connaissent un tel engouement qu’elles détiennent plus de 90 % des parts de marchés de l’alimentation du chien de compagnie dans les pays anglophones en 1941.

En 1942, alors que la Seconde Guerre mondiale bat son plein, la nourriture en conserve devient interdite à la suite de restrictions sur l’utilisation du métal. Les fabricants commencent par conséquent à recourir à des procédés de déshydratation et de congélation de la nourriture. Après la levée des interdictions, la conserve retrouve sa place de leader jusqu’à l’apparition des croquettes.

Naissance des premières croquettes pour chiens en 1956

Invention du procédé d’extrusion par Purina®

L’une des plus grandes avancées de l’histoire de l’industrie des aliments pour animaux de compagnie est sans conteste l’arrivée des croquettes.

En 1956, l’entreprise Purina® commercialise la première croquette appelée « Purina® Dog Chow® » grâce à l’invention du procédé d’extrusion. Ce nouveau concept consiste à mélanger et cuire les ingrédients à très haute température pour créer une pâte. Elle est ensuite texturée en passant à haute pression à travers une machine et obtient sa forme définitive sèche après l’évaporation de l’eau. 

Grâce à cette technologie novatrice, il est désormais possible de concevoir de grandes quantités d’aliments stables, avec une durée de conservation longue. Cette innovation est perçue à l’époque comme révolutionnaire, car elle simplifie le mode d’alimentation des chiens. Les croquettes sont faciles à stocker, simples à mesurer et représentent une solution équilibrée et complète pour leurs repas.

À la faveur d’une campagne publicitaire massive, les premières croquettes de Purina deviennent en seulement 1 an la nourriture pour chiens la plus vendue aux États-Unis. D’autres fabricants leur emboîtent le pas et l’industrie de la croquette pour animal de compagnie connaît une expansion fulgurante jusqu’à devenir la nourriture la plus consommée par nos boules de poils.

C’est ainsi qu’en France aujourd’hui, 94,6 % des propriétaires donnent des croquettes à leurs chiens d’après le rapport 2022 de la FACCO (Fédération des fabricants d’Aliments pour Chiens, Chats, Oiseaux et autres animaux familiers).

Âge d’or de la croquette pour chien, mais remise en question de sa qualité par certains

Cette suprématie est pourtant aujourd’hui contestée et remise en cause par des propriétaires de chiens de mieux en mieux renseignés sur l’alimentation de leur compagnon à quatre pattes. 

La réflexion porte notamment sur les taux de glucides contenus dans la nourriture suite à l’invention de l’extrusion, car ce procédé nécessite l’utilisation d’amidon provenant de céréales. Ainsi, de nombreux fabricants incorporent trop souvent de très fortes concentrations de graines, au détriment des protéines essentielles à leur organisme. 

De plus, la complexité pour comprendre les informations présentes sur les étiquettes des sacs de croquettes renforce la méfiance des propriétaires d’animaux à la recherche de la meilleure alimentation.

Heureusement, quelques firmes ont pris conscience du problème et ont créé des nourritures sèches mieux adaptées à la physiologie canine.

Depuis les années 2010, des gammes « naturelles » ou encore « sans céréales » ont vu le jour. Certaines spécialités se prêtent parfaitement à l’exercice, elles privilégient l’utilisation d’ingrédients de qualité avec une constitution carnée majoritaire et limitent les sucres notamment.

Néanmoins, sous couvert d’un marketing affichant « naturel » ou « premium », certaines sociétés n’hésitent pas à commercialiser des produits de qualité inférieure et à la composition déséquilibrée. Si vous voulez de l’aide pour choisir la croquette optimale pour votre ami canin parmi la jungle des aliments secs, consultez notre article.

Que mangeaient les chiens avant les croquettes ? Une longue évolution

Dans le passé, une nourriture pas toujours adaptée à leurs besoins

Avant l’avènement du régime à base de croquettes, leur alimentation a subi des changements significatifs. D’abord primitive, elle a évolué vers une nourriture végétale essentiellement constituée de pain avant de se tourner vers la viande et les légumes. Enfin, les premiers produits industriels canins ont été développés tels que les biscuits et les conserves.

L’amélioration des connaissances scientifiques a permis de comprendre la physiologie du chien et d’adapter en conséquence ses repas. Grâce à l’avènement de l’industrialisation, l’homme a souhaité inventer des réponses pratiques pour les propriétaires tout en apportant une solution équilibrée et correspondant aux besoins de nos boules de poils. 

C’est ainsi qu’aujourd’hui, lorsque les maîtres se trouvent face à un sac de nourriture terminé, nombre d’entre eux paniquent un peu en se demandant par quoi remplacer les croquettes de leur chien. Pourtant, en regardant vers le passé, mais également autour d’eux, ils peuvent se rendre compte que d’autres moyens existent pour nourrir leurs compagnons à quatre pattes.

Une mouvance vers le naturel : un retour en arrière avec l’alimentation faite maison ?

À première vue, vouloir sortir son chien du régime croquette pourrait ressembler à une forme de régression, mais il n’en est rien.

Alors qu’un courant vers le naturel et le retour aux sources s’installent dans la société, on observe que les chiens aussi y ont droit ! Pour offrir un mode d’alimentation le plus proche possible du régime canin originel, certains maîtres préfèrent cuisiner eux-mêmes pour nourrir leurs compagnons à quatre pattes avec des repas faits maison.

C’est ainsi que la ration ménagère est née. Mais attention, à la différence d’autrefois, il ne s’agit plus de leur offrir des restes de table, mais bel et bien d’élaborer des menus adaptés à leur système digestif. 

Ce mode de nutrition requiert beaucoup de temps et d’attention de la part des propriétaires. Pour les soulager, des traiteurs spécialisés dans la fabrication de rations ménagères ont vu le jour. Si vous aussi êtes soucieux de la qualité de l’alimentation de votre compagnon, mais n’avez pas le temps ou la capacité de passer des heures en cuisine, vous pouvez faire confiance à des entreprises reconnues. Nous vous conseillons de faire appel à des sociétés comme Elmut et Miamnimaux en France, ou encore Dog Chef en Belgique.

Ce voyage dans le temps pour comprendre ce que mangeaient les chiens avant les croquettes, nous permet d’appréhender l’évolution de leur nourriture. Le choix du régime alimentaire canin se révèle être une question de longue date et demeure toujours d’actualité.

La nourriture industrielle canine a aujourd’hui pris une place prépondérante. Les croquettes brillent en tête de ce marché colossal et restent le mode de nutrition animale le plus répandu. Cependant, de nouvelles tendances se dessinent, avec pour enjeu le bien-être des meilleurs amis de l’homme, tout en préservant la praticité d’utilisation pour le quotidien des propriétaires.

Sources : 

CASE, Linda P. et al. Canine and Feline Nutrition: A Resource for Companion Animal Professionals. Maryland Heights : Mosby Elsevier, 3e édition, 2011, 542 pages.

LEMONS, Claire Louise. The Canine Diet: A Look into the Evolution and Current State of Diet in the Dog. Mémoire de licence, University of Arizona, 2014.

VALLAT François. L’alimentation témoin de l’humanisation du chien ? Bulletin de la Société Française d’Histoire de la Médecine et des Sciences Vétérinaires. 2011, vol. 11, p. 95-105.

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